[Beethova Obas - Tante Siya]
Revenant de la colline,
Son camarade Jean lui tendait la main
Il n’avait pas bonne mine
Ça doit changer mais c’est pas pour demain
Intense délire,
Tout est lourd dans sa tête comme un fardeau
C’est comme un navire
A la dérive, entrainé par les flots
Siya Siya eh !
Le démon maquillé
Siya , Siya eh !
Le démon m’a tué
Les problèmes du monde
D’Amérique, d’Afrique, d’ici ou d’ailleurs
Sur une table ronde
Se discutent chez les géants de malheur
A L O N U,
La vieille blanche de Washington DC
D’un air détendu
A décidé du sort des autres vies
Quand règne le méchant,
Ses serviteurs n’attendent pas la nuit
Pour faire couler le sang
En dévorant les innocentes vies
Les vies et les biens
Sont protégés par les hommes en uniforme
Mais il faut « les biens »
Pour protéger les vies en bonne et due forme